NUTRITION & SANTÉ : L’imitation de la viande fait ses débuts aux États-Unis

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La US Food & Drugs Administration, l’office public chargé de la sécurité alimentaire, a approuvé courant novembre la première étape qui ouvre la porte à la commercialisation d’une imitation de « poulet » produite en laboratoire par UPSIDE Food. Dans le même temps, la start up fournisseur d’ingrédients propose de remplacer les abeilles par des bioréacteurs et la fermentation de précision pour fournir le miel du futur. 

Une étude publiée analysant le changement de régime alimentaire (basé sur moins de produits d’origine animale) confirme qu’il pourrait entraîner une résurgence des troubles liés à la carence en iode, avec un impact potentiel à long terme sur le développement du cerveau.  

Une nouvelle étude révèle que les produits industriels qui visent à imiter la viande contiennent des « anti-nutriments », qui ne permettent pas à l’organisme d’absorber correctement des nutriments spécifiques tels que le fer et le zinc.  

Dans l’UE, on s’attend à de nouveaux retards dans le dossier de l’étiquetage nutritionnel à l’avant de l’emballage : si la Commission devait commencer à discuter d’un projet de législation sous la présidence tchèque du Conseil, elle a annoncé, lors de plusieurs événements publics, que le dossier devait encore être analysé et qu’une analyse d’impact était en cours. Ce sera probablement la présidence suédoise qui devra s’occuper de ce dossier… si la Commission propose un projet dans les six prochains mois. 

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