Le mois de janvier marque le début du semestre de la présidence tournante du Conseil pour la France. Le ministre français de l’agriculture a exposé ses priorités en matière d’initiatives législatives, à savoir l’avancement des clauses de réciprocité dans le commerce international, l’utilisation durable des pesticides et l’initiative sur les cycles du carbone. L’université de […]
Les travaux
NUTRITION & SANTÉ : VEILLE PÉRIODIQUE
Le débat sur la viande cultivée en laboratoire évolue dans les enceintes de Bruxelles, avec un premier événement sur le sujet organisé par des députés du Parlement européen. Alors que les producteurs, les ONG et, semble-t-il, la Commission –dans une certaine mesure- soutiennent cette technologie, les agriculteurs et les consommateurs sont sceptiques quant aux avantages que ce produit pourrait apporter à l’avenir de l’alimentation. Dans le même temps, le Royaume-Uni a identifié les protéines alternatives comme un domaine stratégique où investir pour sa stratégie alimentaire à long terme.
En réponse à un député italien, la Commission déclare que les produits laitiers alternatifs ne peuvent pas être commercialisés comme du “lait”, mais qu’ils doivent être appelés de manière à ne pas créer de confusion chez les consommateurs. Dans le même ordre d’idées, les autorités sud-africaines ont interdit les noms carnés pour les produits végétariens et végétaliens.
En ce qui concerne l’étiquetage des aliments, l’autorité italienne de la concurrence s’est exprimée sur le NutriScore, accusant le label de semer la confusion dans l’esprit des consommateurs.
note complète disponible sur l’espace Membres de FE