La décision de la CJUE sur les NBTs en juillet dernier continue de nourrir le débat au niveau européen (et pas seulement). A la fin du mois dernier, 22 organisations professionnelles européennes qui représentent un large éventail de parties prenantes (ex. des producteurs, des transformateurs et des groupes de commerçants) ont exprimé encore une fois leurs inquiétudes en appelant à un changement législatif de fond sur le sujet. Parallèlement, le gouvernement australien a récemment décidé de ne pas réglementer l’utilisation de techniques de modification […]
Les travaux
NOUVELLES TECHNIQUES DE SÉLECTION VARIÉTALE : LES EXIGENCES DE SÉCURITÉ SONT ESSENTIELLES À L’OUVERTURE AUX OGM
Lors du conseil informel Agri qui s’est tenu à Prague à la mi-septembre, les ministres de l’UE ont semblé particulièrement ouverts aux nouvelles modifications des législations de l’UE sur les OGM, demandant une évaluation d’impact solide et la sécurité comme priorité absolue.
En Autriche, une ONG a lancé une pétition paneuropéenne en ligne pour maintenir le statu quo sur les réglementations relatives aux OGM, craignant qu’une éventuelle modification ne permette à ce qu’elle appelle les “nouveaux OGM” d’être vendus sur le marché sans respecter les mesures de sécurité nécessaires.
De l’autre côté de l’Atlantique, alors que l’USDA a approuvé une tomate génétiquement modifiée riche en nutriments, le gouvernement américain a approuvé un décret fixant les lignes directrices de la future coopération entre les organismes gouvernementaux afin de stimuler l’industrie américaine de la biotechnologie et de la bioproduction. Dans le même temps, un juge fédéral a affirmé que les règles actuelles d’étiquetage des OGM ne garantissent pas la sécurité des consommateurs car elles empêchent certains d’entre eux d’accéder à l’information.
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